décembre 2021 - HMY

6 conseils autour de l’éclairage dans le retail de la mode afin d’améliorer l’expérience client

  • L’éclairage peut-il être un facteur clé de l’expérience de marque dans le retail ?
  • Lorsqu’il est bien conçu, l’éclairage en points de vente peut renforcer l’identité de la marque
  • Grâce aux 6 conseils suivants, il est possible non seuelemtn d’amléiorer l’expérience de marque, mais également les ventes.

La plupart des retailers abordent l’éclairage de manière fonctionnelle, en particulier dans le secteur de la mode, où l’ensemble du produit est généralement traité de la même façon :

  • Le magasin doit avoir un éclairage uniforme afin d’éviter les ombres et les contrastes.
  • Le produit doit être mis en évidence.
  • L’utilisation d’un mobilier qui puisse intégrer un éclairage LED.

Mais, cette conception de l’éclairage des magasins permet-elle d’exploiter le véritable potentiel de la lumière ?

Ou à l’inverse, que se passerait-il si nous sortions des sentiers battus et considérions la façon d’éclairer les points de vente comme un élément supplémentaire de l’image de marque ? Pourrions-nous utiliser la lumière comme un élément différentiel ayant un impact plus important sur l’expérience du consommateur et sur les ventes ?

De toute évidence, la réponse est oui.

L’état de l’art  de l’éclairage est bien plus avancé qu’on ne le pense si l’on considère les boutiques de mode de nos villes. De plus en plus de marques et d’enseignes tirent parti de cette niche encore inexploitée.

De l’éclairage tamisé et très contrasté des magasins Abercrombie & Fich ou Hollister, au déploiement visuel des magasins les plus étranges de Candem Town à Londres, ill est prouvé que, ceux qui intègrent la lumière comme point clé de l’expérience de marque de leurs magasins se situent à un niveau supérieur en termes de retail.

Voici donc 6 conseils afin d’intégrer la lumière comme point clé de l’expérience client en magasins.

1.   Combinez plusieurs types d’éclairage dans tout le magasin

De nombreuses enseignes de mode réalisent de grandes présentations visuelles dans leurs vitrines : Inditex ou le Corte Inglés entre autres, ne laissent, généralement, personne indifférent. Elles utilisent des barres lumineuses, des bandes led, des présentoirs  avec éclairage intégré intégrée, des caissons lumineux ou des lightboxes. Néanmoins, lorsque vous entrez dans le magasin, vous ne constatez que deux types d’éclairage : celui d’ambiance et celui d’accentuation.

Alors, pourquoi ne pas appliquer le même concept dans l’ensemble du magasin ? Voici trois des nombreuses idées possibles.

  • Créer différentes ambiances en tirant parti de l’éclairage d’une lightbox.
  • Mettre en évidence le mobilier à l’aide d’un éclairage LED périphérique ou de moulures internes.
  • Utiliser des constructions ou des blocs de lumière pour mettre en valeur des zones avec des collections premium, des collaborations ou les nouvelles saisons.

2.   Travaillez l’éclairage comme une partie de plus de l’expérience

Si l’expérience du consommateur est quelque chose qui est défini dès la conception, alors, l’éclairage, en tant qu’outil supplémentaire pour déployer cette expérience, doit l’être également.

La lumière n’est pas seulement un élément indispensable pour mettre en valeur et magnifier les visuels des magasins. Comme nous pourrons le constater avec les conseils ci-dessous, elle a également un impact considérable sur l’humeur du consommateur.

Afin d’en déployer tout le potentiel, il est nécessaire que les équipes de design qui définissent le concept de la marque dans les magasins aient des connaissances techniques sur les possibilités offertes par la lumière et les différents types d’éclairage pouvant être intégrés.

3.   Réalisez une étude professionnelle de l’éclairage

Connaître le résultat visuel que l’on souhaite obtenir est une chose, mais le réaliser en est une autre, bien différente.

Du choix des meilleurs luminaires ou spots LED, pour chaque effet visuel, à leur position, orientation et puissance, tous ces aspects sont contrôlés par un technicien expert en éclairage (qui travaillera en collaboration avec l’équipe de design). Des aspects qui, sans son aide, peuvent s’avérer très difficiles à obtenir.

4.   Qualité versus quantité

Lorsque l’on suit la maxime qui veut que « tout doit être bien éclairé », il est facile de tomber dans l’erreur et de nous laisser guider par la quantité plutôt que par la qualité de l’éclairage, et des des projecteurs qui l’alimentent.

D’une part, travailler l’éclairage de cette façon implique probablement plusieurs factures (énergétique, d’installation, de maintenance…). D’autre part, ce qui, à première vue, peut sembler correctement éclairé, avec les changements de couleurs qu’apporte chaque nouvelle mode, peut aboutir à une présentation de vêtements et de « looks » surexposés ou trop foncés.

C’est pourquoi, il ne s’agit pas d’installer une grande quantité de sources lumineuses, mais plutôt des foyers ayant des caractéristiques appropriées. Ainsi, grâce à une étude d’éclairage adaptée, vous obtiendrez toujours le meilleur résultat visuel possible (et au passage, vous n’exploserez pas la facture d’électricité).

5.   Maîtrisez le concept HCL

HCL est l’acronyme de Human Centric Lighting, une façon de comprendre l’éclairage par l’effet qu’il provoque sur le consommateur (humeur, réaction métabolique, bien-être général…).

Il s’agit d’un type d’éclairage qui tient compte, non seulement, de la présentation du produit, mais également du confort éprouvé par le consommateur dans l’espace en question.

Les implications de cette façon de concevoir la lumière changent radicalement l’expérience du consommateur en magasins, le temps qu’il souhaite y passer et ses sensations au moment d’essayer un vêtement.

6.   Misez sur des tendances innovantes

Finalement, existe-t-il un secteur plus audacieux que celui de la mode ? Si les magasins de mode ne sont pas transgressifs, quel autre secteur le sera ?

La lumière, à travers toutes ses formes et ses couleurs, est l’une des meilleures publicités pour attirer l’attention du consommateur. D’autant plus qu’à l’ère du numérique, l’image (statique et vidéo) est le principal stimulant pour des consommateurs qui passent autant de temps sur Instagram et Tik Tok que dans les magasins.

Contactez-nous si vous souhaitez donner un nouveau souffle à votre magasin de mode. Notre équipe, d’architecture et de design d’intérieur créera un espace efficace et personnalisé dans votre point de vente afin d’offrir la meilleure expérience possible au consommateur.

Les 10 principes de l’éco-conception dans le retail

  • L’éco-conception est l’outil le plus utile pour un retail respectueux de l’environnement.
  • Ces 10 principes aident à concevoir du mobilier et des équipements plus durables pour les marques et les enseignes.

L’évolution du retail vers un modèle d’entreprise plus durable  est passée par plusieurs étapes.

La première d’entre elles s’est efforcée d’améliorer les pratiques de recyclage et l’utilisation des consommables dans les bureaux des marques et des distributeurs. Elle a également cherché à intégrer le recyclage dans les activités quotidiennes. La deuxième étape vise, quant à elle, à rendre les produits plus durables.

À l’heure actuelle, le retail amorce une troisième étape : transmettre le message au consommateur et miser sur le développement durable (sans pour autant tomber dans le greenwashing).

Pour cela, il est nécessaire que des experts en aménagement de magasins, comme HMY, effectuent le même travail avec le mobilier et les services pour le retail que les marques avec leurs produits : les « reconcevoir » pour les rendre plus durables.

Ce processus de reconception axé sur la durabilité est ce que nous appelons communément éco-conception. En voici les 10 principes que nous présentons aujourd’hui dans ce post.

1. Utiliser le moins de matériaux possible

Économiser sur son processus de production réduit considérablement l’impact environnemental du mobilier. Cela permet de réduire l’énergie utilisée pour l’extraction des matières premières et l’épuisement des ressources naturelles qui en découle.

Cependant, le défi réside dans la volonté d’intégrer cette phase de réduction des matériaux à la conception du mobilier. Cette étape de « reconception » des pièces et de leurs processus, est souvent chronophage, mais elle est nécessaire.

2. Faciliter le tri des éléments

Pendant des années, l’accent mis sur l’optimisation du temps et des coûts des matériaux a conduit le secteur industriel à utiliser des assemblages qui utilisaient colles et silicones. Cependant, ces procédés rendent impossible la séparation des différents matériaux qui composent un meuble en vue de leur recyclage.

Le faciliter, grâce à de nouvelles méthodes de production et de nouveaux matériaux, est une autre étape à laquelle sont confrontées les équipes d’ingénierie HMY afin que les magasins soient respectueux de l’environnement.

3. L’utilisation de matières premières respectueuses de l’environnement

Rien de ce qui a précédemment été dit n’a de sens si nous continuons à dépendre de matériaux dont la production et l’extraction provoquent la désertification ou la pollution de notre environnement naturel. C’est pourquoi l’un des devoirs de la chaîne d’approvisionnement est de partir en quête d’autres sources, telles que les forêts gérées durablement pour extraire les matières premières de manière plus responsable.

4. Concevoir pour durer

Dans le retail, la durée de vie d’une installation est celle requise par le concept actuel de la marque, de la campagne ou du produit pour lequel elle est conçue.

Cela ne signifie pas que, pour des raisons de coût, les matériaux et processus ne doivent pas être utilisés aussi longtemps que possible, mais ils doivent être les plus appropriés. Pour ce faire, un juste équilibre doit s’établir entre la durée de l’installation et les autres principes de l’éco-conception.

5. Le trio gagnant : multifonction, recyclage et réutilisation

La polyvalence des installations (ou agilité) est l’un des piliers du nouveau retail pour des raisons pratiques, mais également environnementales.

Concevoir du mobilier, des technologies ou des éléments visuels afin de pouvoir s’adapter aux différents besoins de la marque ou du retailer nous permet d’éviter de nous plonger dans une spirale de production et de surcoûts à chaque nouveau projet.

6. Le compactage

Il existe de bonnes pratiques comme l’emballage à plat, qui conçoit le mobilier de manière à optimiser l’espace de chargement dans les remorques de transport. De telles méthodes ont un impact direct sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la logistique du retail.

Cette démarche, ajoutée à l’optimisation des itinéraires de transport et à l’utilisation d’équipes de montage locales, contribue à réduire au maximum l’empreinte carbone. Concrètement, HMY a diminué de 22% ses émissions de GES en 2020. Cette réduction a été certifiée par l’AECOC (Association espagnole des fabricants et des distributeurs) et a conduit à l’obtention de la première étoile Lean & Green.

7. Concevoir des services plutôt que des produits

Est-il possible de remplacer du mobilier pour magasin par un service ? Peut-être s’agit-il, encore, d’un idéal un peu lointain aujourd’hui, mais il existe des éléments physiques du magasin que nous pouvons transformer en contenu digital. C’est le cas de la communication visuelle et de l’affichage dynamique.

Il s’agit d’une bonne pratique qui améliore non seulement l’impact environnemental, mais également les coûts en PLV des marques.

8. L’optimisation par la technologie

Ceci est en phase avec le point précédent bien que cela affecte également l’ensemble du processus de fabrication et de la logistique des magasins. Voici certains éléments clés pour lesquels la technologie contribue à réduire l’impact environnemental du retail :

  • Le développement du mobilier sur un logiciel intégrant des calculs de quantité et de densité des matériaux.
  • Les progrès dans les processus de production et les nouveaux matériaux permettant de consommer moins de matières premières ou de les recycler.
  • Des technologies de picking afin d’optimiser les chargements des remorques.
  • Un logiciel et une méthodologie logistique afin d’optimiser les itinéraires de déchargement.

9.Utilisation de systèmes standards

La production est un besoin fondamental de la société et, par conséquent, la maxime de l’éco-conception est d’optimiser au maximum la fabrication des biens (non substituables par un service).

Cette optimisation atteint son maximum lorsque nous utilisons la standardisation.

Appliqué à la conception du magasin, il s’agit de définir le mobilier en profitant des structures existantes ou en partant de zéro, mais en utilisant un nombre limité de structures qui, si nécessaire, peuvent être personnalisées par des couleurs ou des modules complémentaires (également standardisés). De cette façon, tout peut être produit sur la même ligne, réduisant le temps, les coûts, le transport, les déchets…

10. Communiquer sur le développement durable

L’impact du retail sur notre vie quotidienne est comparable à celui de notre foyer et de notre travail. L’espace consacré aux magasins et le temps que les consommateurs y passent (en ligne et hors ligne) les convertissent en plateformes de communication extrêmement efficaces.

C’est pourquoi les espaces de vente peuvent se transformer en porte-paroles de la durabilité. Ils deviennent des plateformes de sensibilisation qui aident à alimenter les efforts qui réussissent à réorienter le retail vers ce modèle d’entreprise plus durable et pourtant tellement nécessaire.

Grâce à ces 10 règles simples sur l’éco-conception dans le secteur du retail, il est possible d’augmenter la durabilité dans les processus de production à tous les niveaux. Cela permet à la marque de contribuer directement à l’amélioration de l’environnement et de devenir une entreprise écologiquement responsable.

5 conseils pour repenser vos magasins afin qu’ils deviennent éco-responsables

  • Le développement durable dans le retail est un changement de paradigme aussi important et profond que la transformation numérique.
  • Repenser le concept de magasin d’une marque afin de le rendre plus durable, signifie qu’il faut intervenir dans toute la chaîne d’approvisionnement, et pas uniquement dans le point de vente.

La durabilité a suscité une incontestable attraction au sein de la société en général et dans le retail en particulier. Intégrer le respect de la planète dans leurs objectifs d’entreprise, est un point que de moins en moins de secteurs et de marques peuvent se permettre d’ignorer.

Jusqu’à présent, cette odyssée était centrée sur deux aspects des marques et des distributeurs : la gestion opérationnelle au quotidien et les produits ou les services. Cela est, bien entendu, logique, puisque le premier est le plus facile à contrôler et le second est celui qui a le plus d’impact sur la relation avec le consommateur. Deux victoires relativement rapides.

Mais, le développement durable est loin d’être une mode. Les consommateurs exigent une implication forte et croissante des entreprises dans la préservation de la planète. Ils réclament une profonde transformation qui englobe toute la chaîne d’approvisionnement. Ce fait a fini par mettre l’accent sur un troisième aspect des entreprises de grande consommation qui conjugue gestion opérationnelle quotidienne et produit : les magasins.

Dans le post d’aujourd’hui, nous vous dévoilons 5 conseils afin d’intégrer de manière irréfutable et profonde la durabilité comme un élément visible dans la refonte du concept de magasin des marques.






1. La durabilité est une valeur, pas une action

Le premier point, et le plus important, est de comprendre la durabilité comme quelque chose qui affecte tous les niveaux de la marque. Installer un seul meuble, une seule ligne de produit ou une seule affiche, était un basique du marketing qui ne suffit plus au consommateur. L’utilisateur assimile ces pratiques à du greenwashing et les ignore ou les sanctionne tout simplement.

Intégrer la durabilité au cœur de cette étape de la marque signifie repenser tout ce qui concerne ses points de vente. Voici quelques exemples qui permettront de les convertir en magasins éco-responsables :

  • Les matériaux et procédés utilisés dans le mobilier.
  • La gestion des déchets.
  • La rotation des consommables.
  • Le tri de l’emballage et des sacs.
  • La consommation énergétique de l’établissement.
  • La logistique nécessaire à la mise en œuvre du nouveau concept dans tous les points de vente.
  • Les modes opératoires qui permettent de faire parvenir le produit aux magasins.
  • Le rôle que jouent les points de vente dans la logistique du dernier kilomètre.
  • L’impact social du magasin sur son environnement.

Tout cela fait partie de la relation de la marque avec le consommateur et la société, dont tous deux font partie. Par conséquent, dans la mesure où les clients perçoivent l’engagement de la marque envers la durabilité de tous ces points (et, si possible, plus encore), elle n’en sera alors que mieux considérée.

2. Intégrez le concept « cycle de vie » à votre marque, vos produits et vos magasins

L’une des clés de la durabilité dans le secteur du retail est le concept de « cycle de vie ». Il nous aide à analyser les biens et les services au-delà de leur production et de leur vente et, donc, de leur impact environnemental.

L’exemple le plus évident de notre négligence envers la durabilité se traduit par ces îles flottantes de plastique. Elles sont devenues une grande menace pour les océans. Nous avons tous vu les images de ces amas formant de véritables décharges électroniques, malheureusement courantes dans les pays d’Afrique. Au niveau microéconomique, ces situations peuvent nous sembler excessives. Cependant, les consommateurs les associent de plus en plus aux marques qui produisent et commercialisent les produits qui finissent leur vie dans ces déchetteries.

Pour appliquer le cycle de vie à notre nouveau concept de magasins, nous pouvons :

  1. Mettre en valeur le processus de production et le recyclage des éléments et des produits, en les transmettant au consommateur comme une part du storytelling.
  2. Trouver un moyen de donner une seconde vie à des éléments de la boutique dans le nouvel agencement.
  3. Impliquer les consommateurs dans le recyclage des déchets générés par nos produits. Depuis des années maintenant, les supermarchés du nord de l’Europe ont mis en place une consigne sur les emballages en aluminium et en plastique des boissons qui leur sont restitués par les consommateurs.

3. Lorsque vous envisagez un changement, éco-concevez-le

À l’heure actuelle, l’éco-conception est la tendance la plus importante dans quasiment tous les secteurs industriels, en particulier celui du retail durable. Son nom est en soi suffisamment explicite : appliquer des pratiques respectueuses de l’environnement lorsque nous concevons un produit ou un service.

Chez HMY, nous suivons les 10 préceptes de l’éco-conception lorsqu’il s’agit de concevoir, fabriquer et agencer des magasins, des stands et des supports PLV, en veillant à ce qu’ils soient aussi durables que possible :

  1. Utiliser le minimum de matériaux possible.
  2. Faciliter le tri des éléments.
  3. L’utilisation de matières premières respectueuses de l’environnement.
  4. Concevoir pour durer.
  5. Le trio gagnant : multifonction, recyclage et réutilisation.
  6. L’optimisation des emballages et de la logistique.
  7. La conception de services qui puissent remplacer des produits.
  8. Utiliser des technologies au service de la durabilité.
  9. L’utilisation de systèmes standards chaque fois que possible.
  10. L’éco-publicité : encourager, par la conception, la sensibilisation du consommateur.

4. La durabilité est bien plus que du recyclage

Une autre des notions que nous avons intégrée chez HMY, associée au cycle de vie et à l’éco-conception, est celle de seconde vie. Grâce à notre réseau de magasins et d’équipes de montage, nous sommes en mesure de proposer à nos clients le démontage, la remise en état et la réinstallation du mobilier de leurs magasins.

Ce concept est particulièrement utile dans la gestion de nombreuses fermetures et ouvertures, très courantes chez les marques en développement.

5. Ayez connaissance des possibilités durables

Il est difficile pour les marques d’avoir le temps ou de posséder les compétences nécessaires afin de pouvoir les mettre en œuvre en dehors de leur champ d’action (gestion opérationnelle et produits). Toutefois, cela devient plus facile si nous connaissons les dernières tendances en matière de développement durable que, dès maintenant, tout détaillant peut appliquer à ses points de vente.

Nous les avons, récemment, rassemblées dans le post suivant  :

  1. Vita : des textiles décoratifs.
  2. L’affichage dynamique.
  3. Du mobilier en bois FSC et PEFC.
  4. Des porte-étiquettes BIO.
  5. Des polyuréthanes d’origine organique.
  6. Des gondoles en acier deuxième génération.
  7. Une communication visuelle composée avec des supports recyclés et recyclables, des encres ÉCO et des revêtements qui purifient l’air (Pureti).

La Fundación Lealtad, dont HMY est partenaire, lance le label « Donnez en toute confiance »

  • La confiance est la principale raison de collaborer avec une ONG
  • La Fundación Lealtad évalue les associations et les fondations pour s’assurer qu’elles respectent pleinement les 9 principes de transparence et de bonnes pratiques.

Chez HMY, nous comprenons que les entreprises doivent faire des affaires de manière responsable en promouvant les bonnes pratiques et cela est particulièrement vrai dans le domaine des ONG où la confiance est primordiale.

En tant qu’entreprise, nous faisons un pas de plus en matière de responsabilité sociale en soutenant la Fundación Lealtad, une institution indépendante à but non lucratif dont la mission est de renforcer la confiance de la société envers les ONG afin d’obtenir une augmentation des dons.

 

Le label « Donnez en toute confiance »

La dernière initiative de la Fundación Lealtad a été le lancement du label « Donnez en toute confiance », qui identifie les ONG qui sont transparentes, avec une gestion et un contrôle efficaces des fonds.

Cette labellisation est déjà détenue par plus de 225 ONG. Un groupe d’organisations qui gèrent un volume de fonds de 1 176 millions d’euros et servent plus de 43,5 millions de bénéficiaires. Elles comptent environ 107 000 bénévoles, 30 000 employés et le soutien de 1,9 million membres. 80% ont pour principal domaine d’action le social, tandis que 16% sont impliquées dans la coopération au développement, 2% dans la recherche scientifique associée à la santé, 1% dans l’aide humanitaire et 1% encore dans l’environnement.




Aujourd’hui plus que jamais, il est possible de donner en toute confiance. Rencontrez plus de 225 ONG qui ont le label.

https://www.fundacionlealtad.org/